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Mon avis : Antéchrista – Amélie Nothomb

Publié le par Fanfan Do

Ma chronique sur Insta c'est ici

 

Quatrième de couverture :

 

Avoir pour amie la fille la plus admirée de la fac, belle, séduisante, brillante, enjouée, audacieuse? Lorsque Christa se tourne vers elle, la timide et solitaire Blanche n'en revient pas de ce bonheur presque écrasant. Elle n'hésite pas à tout lui donner, et elle commence par l'installer chez elle pour lui épargner de longs trajets en train.
Blanche va très vite comprendre dans quel piège redoutable elle est tombée. Car sa nouvelle amie se révèle une inquiétante manipulatrice qui a besoin de s'affirmer en torturant une victime. Au point que Blanche sera amenée à choisir : se laisser anéantir, ou se défendre.
Comptons sur la romancière de Stupeur et tremblements (Grand Prix du roman de l'Académie française) et de Robert des noms propres pour mener à son terme cet affrontement sans merci, et nous donner du même coup un livre incisif, à la fois cruel et tendre, sur les douleurs de l'adolescence.

 

 

 

Pourquoi j'ai voulu lire ce livre :

 

J'aime énormément les romans d'Amélie Nothomb et ils sont faciles à caser quand on a très peu de temps entre deux pavés.

 

 

 

Mon avis :

 

 

Comme toujours Amélie Nothomb nous raconte une histoire dans sa langue sublime.

C'est l'histoire très étrange de Blanche qui, bien que fascinée par Christa, sait dès le début qu'elle va se faire dévorer tout crû par cette manipulatrice mais qui se laisse faire quand-même.

J'ai adoré suivre Blanche dans ses pensées, dans son analyse de sa relation avec Christa, avec ses parents, avec le monde... et je n'ai pas compris la fin . Peut-être un peu trop Nothombesque ‼


 

 

Citations :

 

Page 7 : C'était ça l'université : croire que l'on allait s'ouvrir sur l'univers et ne rencontrer personne.

 

Page 14 : Cette perspective m'épouvantait de joie.

 

Page 68 : C'était bizarre. Il y avait une langue qui ondulait comme le monstre du Loch Ness contre mon palais. Les bras du gars exploraient mon dos. C'était étonnant de se sentir visitée. Ce tourisme dura longtemps. J'y prenais goût.

 

 

 

 

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