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Mon avis : Autre-Monde : Ambre - Maxime Chattam

Publié le par Fanfan Do

Quatrième de couverture :

 

Ambre Caldero vit dans un mobil-home au milieu des bois. Sa mère n’est jamais là, préférant fuir. Son beau-père est une menace permanente. Mais elle a la lecture. Chaque page est une petite victoire sur la réalité. Chaque roman est une nouvelle vie qui lui redonne de l’espoir. Son imaginaire est devenu une béquille essentielle pour affronter le quotidien. Mais lorsque Ambre comprend qu’elle est la seule à s’intéresser aux étranges disparitions qui frappent Carson Mills, son meilleur allié devient son pire ennemi. L’explication de tous ces mystères serait-elle fantastique ? Ou son imagination lui joue-t-elle des tours ?

Histoire inédite, Ambre révèle le passé d'un personnage devenu célèbre à travers la saga Autre-Monde, dont ce texte constitue une parfaite introcuction.

 

Mon avis :

 

Maxime Chattam m'embarque toujours dès les premières lignes et me donne envie de partir voir comment c'est de l'autre côté de l'Atlantique. Il me fait tellement rêver avec ses descriptions.
Ambre est le préquel de la saga Autre-monde.
J'ai retrouvé une partie de mon enfance dans ce roman.
Ambre aimerait avoir des pouvoirs sur les objets, juste par la pensée.
J'en rêvais aussi quand j'étais petite. J'en rêve encore parfois...
Ambre s'évade de sa morne vie par la lecture. le monde des adultes est décevant et violent.
En fait, tout dans ce petit livre nous prépare à la saga Autre-monde, et moi qui ai lu la première trilogie il y a des années, je sens déjà les effluves de l'aventure dans laquelle je vais me replonger, là... tout à l'heure.
Parce que oui, je vais relire cette trilogie, plus les quatre autres tomes qui suivent.
Pour moi l'écriture de 
Maxime Chattam est addictive, j'aime sa façon de raconter et surtout ce qu'il raconte.
Il me transporte à chaque fois dans son univers.

 

Citations :

 

Page 39 : Ses livres étaient plus qu'un refuge, ils formaient un espoir. Celui de vies différentes, riches de découvertes, de rencontres, de surprises. Elle savait que tant qu'elle lirait des livres, elle aurait quelque chose à quoi se raccrocher, car chacun à sa manière, lui indiquait une direction possible tout en lui fournissant une bonne dose d'évasion.

 

Page 70 : Celui qui lit est universel. Il n'est plus homme ou femme, il est l'humanité tout entière traversée par le même courant porteur : celui de la littérature.

 

 

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